Tellement d’attentes pour ces îles des Galapagos ! Serais je déçue ? Pourrais je encore être émerveillée après tout ce que j’ai déjà vu ? La réponse est sans contexte, un grand oui ! Oui à la beauté de ces jeunes îles, comme sorties d’un roman de Jules Vernes, oui à cette faune incroyablement riche, variée et surprenante et oui à ses habitants chaleureux et heureux de nous faire découvrir la beauté de leur patrimoine. Car il s’agit bien d’un patrimoine mondial et universel, préservé et endémique comme à nul autre pareil. J’ai pu découvrir à la fois sa faune et sa flore terrestre et sa richesse marine. Qui peut se targuer d’avoir joué avec une otarie, sachant que c’est elle qui nous a choisi, d’avoir nager avec des tortues et des requins ? Pouvoir repousser les barrières entre l’homme et l’animal en faisant parti de leur espace de vie tout en les respectant ! Ces îles nous ont vraiment montré ce qu’était la théorie de l’évolution selon Darwin avec l’observation des iguanes marins ou les tortues géantes, des dinosaures des temps modernes ! D’ailleurs Darwin a très bien saisi le problème en montrant que les espèces qui ont réussi à survivre au fil du temps, ne sont ni les plus courageuses, ni les plus intelligentes, mais celles qui ont su le mieux s’adapter au changement ! Le départ est vraiment douloureux mais on repart le cœur et l’esprit rempli de moments magiques et indescriptibles. On aurait juste aimé les partager avec nos enfants !

Adieu aux Galapagos ! Les ultimes photos des otaries sur le port avant de prendre le bus, direction l’aéroport.

La journée va être longue entre attente à l’aéroport, avion, taxi et bus jusqu’à la ville de Mindo, notre ultime étape en équateur et de notre périple, qui conclue définitivement notre tour du monde entamé il y a 3 ans et stoppé à Rio à cause du Covid !

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