OBJECTIFS:

  • dans les nuages, demeuré inconnu des conquistadors, le Machu Picchu a été découvert en 1911 par un américain, après un français en 1890. Les maisons toujours debout depuis 600 ans UNESCO 1983, 7ème merveille du monde: construite pendant 100 ans et habiter que pendant 7 ans
  • Machu signifie vieille et Picchu, montagne
  • prendre un bus à 5h30 du matin pour 30mn de montée (possibilité de le faire à pied), très cher, ouverture du site à 6h du matin, prendre un guide français et faire la photo classique vers la maison du gardien
  • rando à Wayna Picchu (jeune montagne), 30mn de montée et 25 de descente pour une vue exceptionnelle sur le site
  • retour à hydroelectrica 3h de marche pour 8km puis taxi jusqu’à Santa Teresa
  • nuit à lagunia Llaspay

Le départ est très matinal, à 5h du mat, car on ne veut pas perdre une seule minute de visite du Machu Picchu. C’est donc derrière une énorme queue de touristes (ils ont passé la nuit là, ou quoi!), qu’on attend le bus. Comme le Sanctuaire historique de Machu Picchu est perché au sommet d’une montagne, il ne peut être atteint que de deux façons; Randonnée à condition d’avoir le temps et une bonne condition physique, cette randonnée se fait en moyenne en 45 minutes; autre alternative plus rapide et pratique, mais couteuse est d’aller en bus, qui nous dépose à l’entrée de la citadelle de Machu Picchu. Arrivés en haut, et après avoir montré notre fameux sésame, les portes d’une merveille du monde s’ouvrent à nous! La journée est très chargée car Pat et les filles ont une rando prévue en fin de matinée à Huayana Picchu afin d’admirer la vue du site d’encore plus haut. Avant cela, on se décide à prendre un guide français qui pourra nous dévoiler tous les mystères liés à ce lieu dont le nom résonne avec une aura de mystère et d’aventure, première image qui envahit l’esprit lorsque l’on parle d’archéologie en Amérique du Sud. La visite nous apprend donc que le Sanctuaire historique de Machu Picchu est l’une des plus grandes réalisations artistiques, architecturales et d’aménagement du territoire au monde et le plus important patrimoine matériel laissé par la civilisation inca. Reconnu pour ses valeurs culturelles et naturelles exceptionnelles. Édifié au XVe siècle, Machu Picchu a été abandonné lors de la conquête de l’empire inca par les Espagnols au XVIe siècle. Ce n’est qu’en 1911 que cet ensemble archéologique a été révélé au monde. Les quelques 200 constructions qui constituent ce centre religieux, cérémoniel, astronomique et agricole exceptionnel sont édifiées sur une crête escarpée, sillonnée de terrasses en pierre. Un plan rigoureux divise la cité en deux parties, la haute et la basse ville, séparant par une large place les zones agricoles des zones résidentielles. À ce jour, nombre de mystères de Machu Picchu ne sont toujours pas résolus, comme son rôle exact dans la connaissance approfondie qu’avaient les Incas de l’astronomie et de l’acclimatation d’espèces végétales sauvages. Il est l’heure pour pat et les filles d’entamer leur ascension, pendant que PG et moi, prenons quelques photos, sous la brume! Dommage, mais le temps finira par s’éclaircir dans la journée. A leur retour, malgré les problèmes très gênants de tourista de PG, nous prenons des photos sous toutes les coutures de ce site magique, au niveau de la cabane du gardien, entre 2 percées du soleil! Heureusement que je ne les avais pas accompagné car apparemment l’ascension est rude et physique, le chemin est très étroit et inégal, les marches n’en sont pas vraiment… et c’est assez long. Mais par contre, quelle satisfaction d’arriver au sommet, et quelle vue sur le Machu Picchu et sur les montagnes entourant la cité inca. Malheureusement, nous ne pouvons pas nous attarder davantage car il nous reste encore tout le parcours inverse à refaire jusqu’à Hydroelectrica, puis Santa Teresa, où nous attendent nos bagages à l’hôtel. On arrive donc épuisés à l’hôtel, après avoir attendu en vain un taxi réservé 2 jours auparavant. Heureusement, il y avait encore un bus qui nous a déposé sur la place du village. PG a toujours très mal au ventre, mais ça commence à aller mieux, et donc rien de tel qu’un poulet frite pour nous requinquer.

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