capdingueOBJECTIFS:
- copacabana à 3800 m, petite ville de Bolivie sur les berges du lac titicaca au pied des sommets enneigés de la cordillère royale
- lac titicaca: 200 km de long sur 60 km de large, c’est la terre de Aymara
- coucher du soleil au mirador sur le lac: rando cerro calvanio qui domine la ville avec 14 stations d’un chemin de croix
- 1 nuit à l’hotel Cupula: très bien avec superbe vue sur le lac
- 154 km
- de 4256m à 3800m d’altitude
Notre agence de location de voiture, nous attend ce matin afin de nous remettre notre 4×4 hilux qui nous accompagnera pendant notre périple de 3 mois. Et je dois dire, qu’elle ne va pas faillir! Après avoir souhaité un joyeux anniversaire à PG, qui a 12 ans, nous quittons enfin la pollution de cette grande ville, pour nous rendre au mythique lac titicaca. C’est avec excitation que les enfants (et les parents) découvrent leurs premiers lama et alpaga; Pour arriver à Copacabana, il nous faut d’abord traverser le lac, façon bolivienne, c’est à dire sur un vieux bac dont les planches en bois semblent à peine tenir. Et c’est enfin l’arrivée sur cette petite ville située à cinq kilomètres de la frontière avec le Pérou, sur les rives du Lac Titicaca. Copacabana signifie d’ailleurs « vue sur le lac ». L’hôtel que nous avons réservé de France « cupula » est un véritable havre de paix, un peu sur les hauteurs du lac donc avec une vue magnifique et un non moins superbe jardin. Les enfants sont aux anges car ils se sont fait plein d’amis: les lamas du jardin ainsi que 3 chiots (surement errants). Nous profitons de notre journée pour goûter la fameuse truite du lac Titicaca, visitez la ville et paresser à l’hôtel dans les hamacs du jardin qui n’attendent que nous!
Le soir, première petite randonnée du voyage afin d’aller admirer le coucher du soleil sur le lac au mirador du cerro calvanio qui domine la ville, en empruntant un chemin de croix (14 stations). Ce fut pour moi, plus qu’un calvaire, entre le mal de tête et le manque d’oxygène. Mais le panorama vaut la souffrance, car c’est magique. Je me rendrai vite compte qu’en Amérique latine, les paysages se méritent!
